-- her winter lips as cold as stone.

- Lyanna Romanoff -
adelaide kane | fire | @uctumblr

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• Flightless Bird, American Mouth.
Enfant du milieu, à jamais forcé d'errer dans cet entre-deux pernicieux. Lyanna se fond dans la foule aussi bien qu'elle se mue avec une aisance toute particulière au coeur de différents groupes. À tel point qu'elle passe le plus souvent inaperçue au sein de sa propre tribu. Non pas qu'elle en soit gênée, au contraire. La vedette revient ainsi à ses ainés et les cadets n'ont de cesse d'égaler les frasques des précédents réunis. Toutefois, cela n'a guère empêché ses géniteurs d'orchestrer des fiançailles avec le rejeton d'une famille tout aussi bien dotée que celle Romanoff. La gamine n'a donc eu d'autre choix que de céder sans broncher, de peur de s'attirer les foudres de ses parents. Une crainte délirante, celle d'un enfant rejeté par des parents dont l'amour fou est d'une importance innée. • L'enfant du soleil émerveille son entourage, dès lors qu'elle daigne défiler sous son meilleur jour. Toutefois, un nuage orageux la surplombe sans crier gare. Une tendre mélancolie qui assaille ses entrailles, s'approprie la carcasse de la môme. Elle est trop souvent compressée par son incompréhension du monde ou sa vision beaucoup trop limpide. Lyanna est complexe, foutrement tortueuse et divinement mystérieuse. La face illuminée, le coeur ombragé et ravagé par les griffes acérées d'éphèbes trop gourmands pour l'aimer. Ce même myocarde à l'agonie, qui retrouve peu à peu de sa superbe bien malgré lui, au contact d'un adonis tumultueux. • Un pays de l'est se mêle à la danse, un corps-à-corps avec les Highlands. Pourtant, Lyanna n'a jamais foulé de son pied que les terres américaines. À son plus grand désarroi, elle qui voudrait plus que tout au monde voyager et surtout côtoyer des terres qui lui seraient plus ou moins familières par le biais d'un patrimoine génétique audacieux. • L'oiseau de nuit est coloré de rouge, de bleu, d'une kyrielle de couleurs qui donnent vie à ses idées. L'inspiration survient généralement en pleine nuit, lorsque la ville sombre dans les bras de Morphée et que l'éther devient d'une profondeur abyssale. Lyanna il y a cinq ans, elle étudiait sa passion, vivait en parfaite symbiose avec son art. Ses vêtements étaient souvent tachés par de la peinture, ses doigts sans cesse papillonnaient sur un calepin qu'elle gardait au fond de son sac. Ses plans d'avenir s'étalaient sur une décennie. Tous y incluaient une vie heureuse, au bras d'un esthète, comme elle. Ils auraient bâti ce qui aurait été leur bulle d'amour, avec un ou deux bambins pour égayer les journées d'un grand-père plus que ravi à l'idée de pouponner. Or, sur un coup de tête, le mirage s'est envolé en éclats. Elle arpente désormais les rues sombres à la recherche du sordide. Photographie des maris infidèles, interroge l'épicier du quartier sur les allées et venues d'un gamin. Un train de vie qui lui plaît au final, si on omet le fiancé en trop. • Le rangement et elle ne sont pas de grands amis. Un genre de toc, la Romanoff est seulement capable de retrouver ses affaires au milieu d’un capharnaüm monstre. Chaque objet a une place spécifique dans ce « joyeux » bordel, une place aléatoire, certes. Seule pièce rescapée ; le bureau dans lequel ses affaires s'alignent sur l'étagère avec rigueur. • Naïade enragée, qui tantôt abomine, tantôt adule ces syllabes douces-amères ; Romanoff. Une appartenance qu'on la force à arborer avec fierté. À enjoliver cette famille qui n'est rien de plus, que l'une des protagonistes phares de cette supercherie instaurée au sein même des grosses fortunes de ce monde. Pourtant, sans elle, aurait-elle connu ce pouvoir qui s'intronise divinement dans ses veines ? L'eau roule sur sa peau, cajole cette armature de chair humaine qui abrite cette force de caractère. Une énergie aussi bien dévastatrice que bienfaitrice. La bague qui orne son annulaire depuis quelques mois frétille sous cette magie enchanteresse. Jamais elle ne quitte sa propriétaire. • L'eau frétille sous ses orteils, une princesse des eaux qui passent le plus clair de son temps à frémir sous les assauts des embruns marins. Un havre de paix qui trouve grâce à ses yeux fatigués. Elle ne fait qu'un avec l'élément lagunaire, divine ondine qui s'apaise dès lors qu'elle entend l'écho des roulements des vagues sur le sable et les rochers. • Comme le laisse présager son métier, Lyanna déteste l’injustice et préfère suivre les règles. Quitte à les contourner habilement tout en restant dans la norme. Depuis son adolescence la demoiselle trouve dans la boxe un bon moyen d’extérioriser toutes les ondes négatives accumulées. Un sport de combat qui contribue à faire d’elle une personne d'un calme olympien presque déroutant. Un atout clé dans le job qu'elle effectue au quotidien. • Lyanna elle est à fleur de peau, survoltée et révolutionnaire. Elle aspire à de grandes choses, elle pousse ses limites au-delà du possible. Elle vit l'instant comme si demain venait à ne plus exister. Elle façonne de ses doigts graciles un destin qui lui serait plus plaisant. Or, si la jeune femme se montre être un cricket porte-bonheur hors pair pour une tierce personne, lorsqu’il s’agit de chance personnelle, la magie s’évapore. Malédiction fatale. La môme est similaire au génie prisonnier de sa lampe magique, contraint à voir tout bonheur lui filer entre les doigts pour les beaux yeux d’un autre. • Elle est similaire à un rêve, Lyanna. Elle est comme le souffle chaud d’un baiser estival. L’allégorie de la joie et de l’allégresse. À la fois la beauté et la dangerosité d’une rose éphémère. Lyanna, héroïne et tragédienne d’une vie altérée par un destin qu’elle s’efforce d’apprivoiser. C'est une gamine de la nature, sans cesse en ébullition, jamais enfermée dans un endroit trop confiné. Elle aime la vie, les grands espaces, trouver sa place dans ce monde. • Lyanna, c'est le genre de nana qui donne mal au crâne. Trop compliquée pour être pleinement comprise, trop bornée pour élucider, elle-même, le mystère qu'elle représente. Romanoff en somme, c'est la violence et la passion d'une pièce de Shakespeare, l'indifférence d'un soupir. Une plume sans la douceur, une chanson d'amour sans tous les pleurs. Une femme-enfant, aussi mature qu'immature, dont la chair est une armure. Son sourire en coin dévoile son côté enfantin, malin, souvent associé à l'ironie dont elle use au quotidien. Elle crie au scandale lorsqu'un homme se plaint de sa complexité, et refuse pourtant catégoriquement de se dévoiler.

• If you breathe, it's because I give you air.

01. Que pensez-vous de la mort de Ray Jones ? Aviez-vu un quelconque lien avec lui ? Lyanna ne possédait aucun lien à proprement parler avec la victime. Si ce n'est, qu'aujourd'hui, elle accepterait volontiers que son tragique trépas contribue à payer ses factures. Elle arpente donc en silence les couloirs, à la recherche du moindre indice. Qui sait, peut-être parviendra-t-elle à doubler la police et ainsi leur voler la vedette. L'investigatrice de renom, parvenue à résoudre le mystère.
02. Que ressentez-vous suite à la venue de la cagoule noire et du F.B.I ? Le piment qu'il manquait à Forks. Elle ne s'en plaint guère et ne s'appesantit que très peu sur le sujet. Du moins pour l'instant, car si la Romanoff flaire quelque chose d'intéressant, elle n'hésitera pas un instant à se mêler à la foule de curieux.
03. Suivez-vous le blog "Under The Wood" ? Qu'en pensez-vous ? Elle suit le blog avec assiduité, plus pour son business que par besoin de connaitre la moindre sottise déblatérer au sujet de ses voisins. Juste ce qu'il faut de curiosité.

pseudo, prénom uknownothingjonsnow. âge, lieu de résidence vingt ans / fr. type de personnage inventé. un petit mot HELP ME J'HÉSITE ENTRE BAE ELIZABETH OLSEN ET QUEEN ADELAIDE KANE love u.

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<i>adelaide kane</i>, lyanna romanoff. (0/0)